Crâne et moelle épinière
Les sujets porteurs d’anévrismes sont fréquents et on estime qu’entre 1% et 2% de la population française est porteuse d’un anévrysme intracrânien.
La stéréotaxie permet de définir la position d’une structure du cerveau grâce à un système de coordonnées dans l’espace, avec une précision de l’ordre du millimètre.
Un cavernome est une anomalie de certains vaisseaux sanguins du cerveau (ressemblant à des petites « cavernes » d’où leur nom) qui sont agglomérés sous la forme d’une petite sphère.
L’opération consiste à perforer une membrane située à la base du cerveau, pour faire communiquer les cavités du cerveau (les ventricules) avec le liquide situé autour du cerveau.
L’hypertension artérielle est la première cause. L’hémorragie est alors très souvent localisée au niveau des noyaux gris centraux.
Une malformation artérioveineuse ou MAV est une malformation vasculaire comportant un amas de petits vaisseaux tortueux (nidus) constituant un shunt entre artères et veines.
Le méningiome est une tumeur bénigne d’évolution lente, mais variable. Il peut cependant être agressif vis-à-vis du cerveau ou du cervelet.
Le premier but de l’opération est d’enlever la tumeur en préservant les structures nerveuses adjacentes. La difficulté de la chirurgie va dépendre en particulier de 3 paramètres…
La réponse à la question de savoir si l’opération vous guérira de votre tumeur dépendra de la nature de cette dernière, révélée par le laboratoire. S’il s’agit d’un…
Un adénome hypophysaire peut donner des troubles, des symptômes par l’intermédiaire de trois processus, isolés ou associés : certains adénomes…
Cette région intra-crânienne est traversée par des éléments anatomiques très importants . La compression de ces éléments par la tumeur est en général ce qui conduit au diagnostic.
Colonne vertébrale
Le chirurgien accède à la colonne vertébrale par une incision sur la partie basse de l’abdomen. La longueur de l’incision dépend de l’emplacement et du nombre des vertèbres à consolider.
On utilisera divers implants et des greffes osseuses. Les implants (vis, tiges, cages) fournissent une fixation immédiate qui permet à l’os de se consolider autour.
Ce rétrécissement entraîne une compression des éléments nerveux et est à l’origine de douleurs et d’une gêne à la marche.
Des études récentes montrent que ces interventions permettent un bon résultat dans 80 % des cas.
Le but de l’intervention est de libérer la racine nerveuse comprimée, et de faire disparaître la douleur sciatique ; ce but est obtenu dans environ 85 % des cas.
L’élément déterminant pour décider d’une intervention est la tolérance du patient à sa situation, on opère quand le patient a eu un traitement médical complet et «qu’il en a marre d’avoir mal».
Les dégâts sur le nerf sont réversibles, au début, au stade des douleurs, moins au stade des fourmis,
encore moins au stade des paralysies.
La dégénérescence discale débute souvent, après une phase de déshydratation asymptomatique, par des fissures, déchirures de l’anneau fibreux.
Les lombalgies peuvent survenir sans hernie discale et être liées au vieillissement du disque qui peut s’exprimer par des mouvements excessifs à l’origine de blocages du dos à répétition.
Un spondylolisthésis reste généralement stable, après la fin de la croissance ou le glissement peut s’aggraver, notamment en raison de l’usure du disque.
La découverte d’un spondylolisthésis n’est habituellement pas une contre-indication à la pratique du sport de loisirs. La pratique d’un sport à haut niveau doit cependant être discutée.